Nevaeh Brixton

Née dans une famille sorcière, Nevaeh n’est pas de sang pur, ni de sang mêler, disons seulement que quelques moldus se sont glisser ici et la parmi ces ancêtres. Vivant toute son enfance et une partie de son adolescence en Angleterre, elle fut admise à Poudlard dans la maison Serdaigle. Créative, et intelligente, Nev préférait de loin les jeux de lumière et de son que ses cours de potion. Pour elle, la magie devait servir à émerveiller les gens, à divertir. La jeune serdaigle devient donc rapidement connue de tous pour ces pratiques dans la cour et parfois dans la grande salle. Les multiples lumières et animations que la jeune sorcière met en scène est presque toujours accompagné de danse ou d’un spectacle de violon.

Des notes acceptables dans toutes les matières, c’est dans ces cours de sortilège que la jeune fille se démarquera, enfin, jusqu’à la tragédie. À ses 14 ans, ses deux parents meurent dans un attentat. Ils se trouvaient au mauvais endroit au mauvais moment. Désemparée, la jeune Nevaeh sera mise sous la protection du ministère de la magie avant d’être envoyée au Canada pour rejoindre la sœur de sa mère, sa nouvelle tutrice. Plus strict et conventionnelle, cette dame forcera Nevaeh à apprendre le violon classique et lui brisera ses rêves de vedettes du divertissement, le programment pour devenir un fonctionnaire au sein du système magique canadien.

Avec ce nouvel environnement, sans compter sur le deuil de ses parents qu’elle n’a toujours pas réussi à faire, La jeune Brixton se plie volontiers aux musiques classiques où elle trouvera son lot de musique triste à jouer. D’une fillette joyeuse, le jeune blond devient une fille effacée dont les notes ne reflètes que son état de non-existence. Pourtant, elle ne restera pas longtemps dans ce nouvel environnement qu’est Buckram. Une épidémie frappe le pays, propulsant plusieurs sorciers à la mort et pour les moins chanceux a la parte de leur pouvoir.

Anéantie devant cette nouvelle réalité, la jeune fille ne posera aucune résistance à ces nouvelles conditions de vie. La jeune fille se retrouve vite dans un cavo bas étages où elle sera vendue à un artisan. Elle travaillera dans ces locales deux années complètes. Elle y apprendra la fabrication de divers instruments, dont le violon. Le vieux monsieur est gentil et attentionné, c’est grâce à lui que Nevaeh retrouvera sa joie de vivre et son enthousiaste. C’est aussi grâce à lui que la jeune fille put cacher sa baguette dans l’archet de son violon sans que personne ne le trouver.

Retrouvant sa joie de vivre, elle se plait à jouer pour le vieux monsieur qui décide de poster ces vidéos sur YouTube pour lui faire un revenu supplémentaire, car comme tous le savent, peu de gens apprécient un instrument à l’ancienne quand on peut en trouver a une fraction du prix dans les grandes surfaces.

De ces vidéos, Nev’ gagne en popularité, apportant son lot d’admirateur, mais aussi un homme mal honnête. Cet homme sera le deuxième maitre de la jeune fille, vendu par l’artisan pour une coquette somme. Exploiter pour ces talents et parfois pour autre service, elle se voit forcer à travailler sans relâche, n’appréciant même plus son violon. Mis sur scène ou pour accompagner un chanteur, Nevaeh se voit vite dépasser par ce rêve de vedette et d’artiste, mais cela prendre un moment avant que, sous la menace d’un burnout, elles ne disent à son maitre. Sous le coup de la colère, elle sera battue jusqu’à l’évanouissement. Quelques jours plus tard, Nevaeh, assiégé de maux de tête, perdra la vision pour la mobilité de son corps. Prenant peur, son maitre là l’abandonnera à l’hôpital avec comme seul bien, son violon et les vêtements qu’elle porte. Son code barre découper de sa chair pour ne pas que l’on remonte à lui. À l’hôpital, ils arriveront à retirer la pression excessive de son cerveau et ainsi lui redonner sa mobilité. Malheureusement, le centre de la vision fut trop durement touché pour que Brixton retrouve la vue. Pour le moment, il est impossible de savoir ce qui lui arrivera, mais certains bruits courent à travers la haute société, car après tout, il serait triste de perdre un si merveilleux talent.